vendredi 3 avril 2015

Découvertes culturelles 3 : Réseaux suivis

Image, guerre et cinéma où l'image questionne l'inacceptable (1)


"A travers, cette œuvre qui implicitement fait référence aux vingt-quatre images par seconde du cinéma, le peintre nous met à nouveau en mouvement face à cet événement que nous ne savons plus voir tant il a été vu. Il nous parle de la puissance supposée d’une image en la tordant, la réinterprétant, la répétant jusqu’à plus soif ou jusqu’à écœurement, lui donnant une profondeur de champ et de sens que notre œil fatigué par les sollicitations permanentes et continues ne distinguait plus. "

Le peintre ? C'est Radenko Milak

Réfléchir sur l'image...

et le langage! 

Quand mettre à la question était soumettre à la torture...














Reçu de la galerie Filles du Calvaire, l'exposition d'un travail qui nous interpelle.

Dorothée Smith / Vernissage / Galerie Les filles du calvaire
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VERNISSAGE

SMITH (dorothée smith)

Давайте Мечтать

Vernissage jeudi 4 février de 18h à 21h



SMITH
Давайте Мечтать

SPECTROGRAPHIES & TRAUM

Exposition du 5 au 27 février 2016

Vernissage jeudi 4 février de 18h à 21h

Télécharger le dossier de presse (.pdf)

Pour son deuxième solo show à la Galerie Les Filles du calvaire, SMITH (Dorothée Smith) présente ses deux derniers projets, “Spectrographies” et “TRAUM”, qui prolongent une réflexion sur la plasticité identitaire et le trouble dans la relation à l’autre. Concevant un espace mixte à la croisée du laboratoire, de la salle de projection, du cabinet d’archives et de la galerie de portraits, la plasticienne développe une poétique para-scientifique qui éprouve la porosité de la frontière entre imaginaire et rationalité. La question de la métamorphose de soi, centrale dans son travail, est ici abordée sous l’angle de la « plasticité destructrice », poursuivant l’exploration de l’appareil conceptuel de la philosophe Catherine Malabou. A travers les figures du fantôme, du fantasme et celle d’une transformation post-traumatique, SMITH donne corps à des processus de subjectivation qui agissent en creux ou en négatif, à même l’effacement, l’altération ou la blessure de l’identité. Témoins de ces destructions créatrices, ses œuvres invitent à une immersion dans une atmosphère obscure et diffuse, au cœur d’une esthétique de l’image constellée et auratique, propices à la contemplation ou à la rêverie.   Lire et relire la suite sur le site de la galerie  

Téléchargez le dossier de presse 


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